1er mai : voici assurément ma fête !

La fête du travail ? Si vous voulez, d'ailleurs il paraît que le travail c'est la santé !
Pourtant je n'ai jamais compris pourquoi la fête du travail était un jour chômé.

Ma fête, je pensais à la fête du Bonheur avec tous ces brins de muguet pour la célébrer.

En cette fête du Bonheur : Meilleurs Voeux de Bonheur ***

Faites du Bonheur, faites votre Bonheur...

cela vaudrait une image de muguet en cadeau, mais je ne sais comment l'insérer :
voilà un apprentissage à faire. Un de ces jours.

Alors pour le muguet je vous invite à regarder autour de vous. En ce jour de pause, si vous sortez de votre nid douillet, il y en a à tous les coins de rue.

Au fait, histoire de pause... celle de Corinne est terminée.
Prête pour un nouveau départ... A suivre !

*** alors ces voeux de Bonheur : prêt(e) à les formuler ?

Car voici un secret, une clé : savoir ce qu'est le bonheur pour moi ?

Comment puis-je le faire croître en ce printemps 2012 ?

Si un gentil génie sortait du brin de muguet que je m'offre ce jour...
qu'il me propose de réaliser mon rêve... que lui répondre ?

Voilà de quoi occuper une belle journée de pause !

Vais-je oser exprimer mes désirs ?
De préférence par écrit : c'est bien plus puissant et plus efficace !!!

cela nous mènera au prochain article qui invitera à passer des rêves aux objectifs... juste au cas où le génie ne se présente pas par magie et que je reste entièrement responsable de leur concrétisation... parce que je le vaux bien.

Ce sont mes rêves, pas de hasard possible (à moins que je sois allé(e) les chercher dans l'esprit des autres, dans les programmes télé ou la publicité), ils sont issus de moi, ils me sont propres et pas interchangeables, pas négociables ni pour cause de bienséance, ni pour quelqu'autre raison externe à mon coeur.

"Chacun de nous a un rêve intérieur que nous pouvons déployer si seulement nous avons le courage d'admettre ce qu'est notre rêve." Julia Cameron, "Libérez votre créativité"

Alors quel est celui qui me motive tout particulièrement ?
Celui qui m'enthousiasme au point de m'engager à le réaliser ?
Voilà de quoi m'engager dans ma Vie, pour le meilleur, pour + de Bonheur.

Ai-je un stylo, un papier ou ai-je une excuse pour ne pas le faire ?
Et bien avant cela : ai-je des rêves ? Ai-je envie de + de Bonheur ?

De tout coeur avec vous : osez votre Vie
BoB

Nouveauté : j'ai décidé de gazouiller en ligne :
Avez-vous identifié mes coordonnées Twitter ?
Je suis @plus_de_bonheur, si vous avez envie de promouvoir mes messages, pensez à me suivre.
Là aussi je débute, un apprentissage de plus. Merci de votre compréhension et de votre soutien.

Des nouvelles de Corinne :
Outre le plaisir de continuer à écrire à ma place (BoB) pour vous !
elle s'engage dans son rêve : créer d'autres outils « My-coach'kit ».
Bonne chance et persévérance CoCoach !

En attendant vous pouvez utiliser les cartes coach « Foi en Soi », échantillon pour un tirage gratuit en ligne ou les kits 3D en vente (par correspondance ou dans certaines librairies d'avant garde).

Comme vous l'avez peut-etre constaté, la pause de Corinne concerne aussi le rythme des articles de BoB... Serait-ce qu'en faire peu incite à en faire peu ? Je le crois, je le constate. Et vous ?

En particulier, ne pas se fixer d'objectif va de pair avec ne pas avoir de motivation.

A attendre que la vie passe, une chose est certaine : la vie passe (et ne repassera pas !)
Oui le temps s'écoule inexorablement, que j'en profite ou pas, il défile...

Le leurre c'est de me plaindre de ne pas avoir le temps. Oui c'est un leurre car face au temps, nous sommes assurément mathématiquement tous égaux : chacun de nous dispose de 24 heures par jour.
Ce qui fait la différence c'est : à quoi je choisis d'utiliser mon temps !

Alors : quels sont mes choix ?

Car OUI c'est moi qui choisit. Même si je me raconte une autre histoire.
Oui en lisant cela je peux avoir envie de me rebeller en invoquant mes devoirs, obligations, engagements... Sauf que si je me reconnais comme adulte responsable, il est temps de reconnaître que c'est moi qui choisit ces engagements et sui croit que ce sont des obligations.
Oui je sais parfois certains de nous délèguent leur pouvoir de choix, demandent aux autres de décider pour eux. OK à condition de se rappeler que c'est alors moi qui décide que ce sont les autres qui décident pour moi !!!

Ouahhh cela demande un sacré courage que de considérer ma façon de voir le temps, que dis-je mon temps !
Pour vérifier cela il est utile de regarder comment fonctionnent des personnes qui sont très différentes de moi, des personnes que j'admire ou dont je n'aime pas du tout les choix, des personnes d'une autre culture, voire qui vivent à l'autre bout du monde (s'il y a un bout ?). Ainsi je regarde qu'un autre mode de focntionnement que le mien existe.

Il est intéressant d'utiliser le miroir : voir chez l'autre ce que je ne vois pas chez moi... et retourner le miroir pour ouvrir de nouvelles options, de nouveaux possibles. En effet ce que je vois possible pour l'autre est possible pour moi.

Une exemple à portée de main est celui que je nommerai des "retraités débordés". En avez-vous rencontré ? Pas de quoi se moquer, juste de quoi relativiser. Car eux aussi sont sincères. Ils parlent de leur réalité. Pourtant en comparant leur agenda au vôtre, sans doute vous croriez-vous en vacances à leur place. Eh bien non, cela ne fonctionne pas ainsi. D'ailleurs le mode pause que j'explore m'a permis de me mettre à leur place (le miroir ne m'a pas suffit, je suis allé faire l'expérience concrète). Oui après plus d'un mois de pause je confirme que le temps est relatif. Un agenda presque vide peut générer l'impression de débordement (car le vide est ailleurs).

C'est bien beau de regarder comment cela fonctionne et de se dire que ce n'est pas terrible... mais quelle est alors la clé ?

Il me semble que la clé de la gestion de son temps, clé qui est d'ores et déjà en vous, c'est la motivation : qu'ai-je vraiment envie de faire ? Autrement dit l'enthousiasme !

et cela suppose donc de s'enthousiasmer pour quelque chose de très spécial pour vous.

Avoir passionnément envie de faire quelquechose et y croire (la confiance) de manière à être déterminé(e) à le concrétiser, avec détermination et persévérance, juste parce que cela me correspond vraiment.

Voilà de quoi se lever le matin, voilà le sens retrouvé et le goût décuplé de la Vie, de ma Vie.

Ainsi ce matin je me suis levée spontanément et cet article a émergé pour le plaisir de vous le partager et car il m'offre d'avancer dans ma vie. Puisse-t-il vous offrir le même cadeau.

Alors qu'est-ce qui vous passionne au point d'être enthousiaste au réveil ?

Bien à vous, en ce mardi 17 avril,
BoB et/ou Corinne

Communiquer et se découvrir... quelle aventure !

Tout d'abord : que vous évoque ce titre ?
Quelles sont vos idées sur ce qui pourrait suivre ?
Que vous dit-il de ce que vous savez déjà ?
En effet ce que nous découvrons correspond souvent à ce que nous savons déjà, ou au moins à ce que nous sommes prêt(e)s à découvrir (on ne perçoit que ce que l'on peut concevoir).

Alors vous avez pris le temps de vous offrir votre réponse ?

Voici la mienne :

En proposant ce thème je pensais à "communiquer c'est en apprendre davantage sur soi". En écrivant le titre j'ai réalisé qu'il avait un double sens : "communiquer c'est s'exposer aux autres". Peut-être existe-t-il encore d'autres lectures du titre : quelle est la vôtre ?

Si je suis mon idée de départ : comment j'apprends à me connaitre en communiquant ?

Communiquer c'est émettre un message : je me découvre si j'écoute ce que je dis. Cela parait évident mais quand suis-je vraiment consciente de ce que je dis ? Invitation à savoir ce que je dis et si j'aime mes propos. Par exemple, si je suis dans le dénigrement d'une personne ou d'une situation, est-ce de cela que je veux m'alimenter ? Ou alors suis-je fier (fière) de ce que je dis ? Pour découvrir cet aspect de la communication je vous invite à (re)découvrir les quatre accords toltèques : avec une vidéo très accessible.
et pour une version plus ludique, rappelez-vous simplement (et souvent) de la sagesse enfantine du : "c'est celui qui dit qui est" !
Ainsi quand je parle de l'autre ou de n'importe quel truc, c'est de moi que je parle, avec mes lunettes (la vision que j'ai choisie). Alors je sais désormais que je peux changer de lunettes.

Communiquer c'est recevoir un message : oui car communiquer ne peut se faire seul(e), cela suppose la mise en commun, ainsi il y a l'autre et sa façon de communiquer, forcément distincte de la mienne. Alors laissons cet autre découvrir ce qu'il apprend de lui en émettant son message et pour l'instant je vais me contenter de me demander ce que son message me dit de moi. Attention pas en mode jugement : pas ce que l'autre dit de moi, simplement ce que j'entends quand il parle. Par exemple suis-je agacé(e) ou en colère ? Ces émotions m'appartiennent et elles m'invitent à me découvrir. Voici la clé puissante et si souvent ignorée de la communication ! Il s'agit de mes lunettes, de mon interprétation, de la façon dont je valide (ou dénigre, et les dénigrer c'est aussi leur donner de la force) ces propos. Que l'autre parle de moi ou d'une situation qui a priori ne me concerne pas, mes émotions, elles, parlent de moi avec éloquence, avec force et (im)pertinence. Or les émotions cela ne se gère pas !!! Elles sont là même si je ne les ai pas invitées, même (ou surtout) si j'ai envie de les rejeter. D'ailleurs plus je veux les nier, plus elles sont envahissantes. Si je crois les avoir muselées, c'est mon corps qui se met à en parler avec des maux. Alors pourquoi ne pas simplement les accueillir et bénéficier de ce qu'elles ont à m'apprendre ?
Ainsi ma clé c'est d'accepter le message, même si je ne l'approuve pas. L'accepter c'est l'écouter et entendre ce qu'il me dit de moi, pas nécessairement dans son contenu (car à ce sujet je vous rappelle que "c'est celui qui dit qui est").
Ainsi en accueillant le message, je me fais un merveilleux cadeau : celui d'accéder à moi-même, de me découvrir.

Que vais-je découvrir de moi aujourd'hui ?
Quelles lunettes vais-je adopter ?

Belles expériences

article écrit par Corinne TANGUY, 27 mars 2012

PS : C'est à peu près la mi-temps de la pause de Corinne. Elle m'a invitée à ne pas prendre la parole depuis cinq semaines, j'espère que ce fut une belle période pour vous.
Ce message ne témoigne pas encore de l'expérience de la pause,
peut-etre le suivant le fera-t-il...  Pour l'instant : PATIENCE.
Voici une expérience enrichissante: apprivoiser a patience, souvent associée à mon impatience. 

Toujours à votre disposition pour plus de : Foi en Soi les cartes-coach

version démonstration en ligne du kit coach : pour un tirage personnalisé 

Passer en mode PAUSE : est-ce utile au Bonheur ?

Marquer une pause dans votre Vie : en avez-vous déjà rêvé ?

Si oui, qu'avez-vous fait de ce rêve ?

C'est Corinne qui va vous en parler, car moi BoB qui vient à peine de naître, n'ai pas encore rêvé de pause, bien au contraire, il est avance et aime même accélérer.

J'ai décidé de passer en mode PAUSE du 24 février au 27 avril,
histoire de faire le point sur les 20 dernières années.
C'est un sacré défi pour moi que de décider de calmer la danse virevoltante de ma vie.
D'ailleurs je me réserve le droit d'utiliser BoB pour partager les trésors de cette pause, quand bon me semblera, sans engagement, p'tet bin qu'oui, p'te bin qu'non, comme disaient les normands.

A quoi bon une pause ?

Comment le savoir ? Par essence, cela semble impossible puisque le principe même du mode pause est le lâcher prise :
s'offrir de ne pas savoir ce qu'on va faire et même cesser de faire ce qui se fait d'habitude ou par habitude.
Comme vivre avec son portable comme greffé à soi (ou tel un doudou!) ou consulter ses messages 10 fois par jour (ou +)... et encore ces 2 habitudes là on ne les a que depuis peu de temps (une dizaine d'années), vous souvenez-vous de la vie d'avant ?

Comment marquer une pause ?

Je m'offre simplement de ne pas travailler, de ne pas communiquer (ou presque car le vrai mode pause est la mort et là on dit que c'est l'arrêt complet). Je vais continuer de m'alimenter, me laver... rassurez-vous !
En mode pause la vie continue, seul celui qui est en pause est concerné par le ralentissement.
Peut-être cela me permettra-t-il d'accéder à un choix plus conscient de ce qui fait l'essence de la vie. Mais là déjà cela ressemble à un projet, vigilance !

Mon mode pause est comme une retraite, au sens spirituel ou une vacance au sens accéder au vide.
C'est donc un espace de ressourcement pour mieux accéder à soi, pour se (re)mettre en phase avec sa Vie.

Oui, cela demande du courage, n'est-ce pas juste le courage de vivre ?

En rédigeant cet article, j'ai ouvert au hasard un livre qui se trouvait à côté de moi car on venait de me le rendre. J'y ai trouvé les mots suivants de N.V. Peale : "La sérénité ne peut s'acquérir dans le tumulte et la frénésie." Le paragraphe invite à ralentir en confiance pour accomplir plus efficacement sa mission de vie.

A la chance de s'offrir une pause...

car avez-vous remarqué que quand on attend que la vie nous offre une pause, cela prends la forme d'un accident de parcours, d'un problème de santé... pour ces événements on est capable de s'arrêter tout net. D'ailleurs, on n'a plus le choix de se demander si on peut ou pas le faire : on le fait parce qu'on ne peut plus faire autrement ! La limite a été dépassée.
Souvent cela arrive alors que depuis des mois, des années on avait envie de cette pause sans oser se l'offrir. Dommage

article écrit par Corinne TANGUY, 24 février 2012

PS : ces jours-ci, j'ai remarqué à quel point notre état d'esprit colore les messages qui nous sont adressés. En effet, si je vois la vie en mode problème, les messages qui me parviennent sont ainsi éclairés et se retrouvent chargés (par leur lecteur) de négativité voire d'agressivité. Voilà sans doute le thème d'un prochain message...

Toujours à votre disposition pour plus de : Foi en Soi

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My-coach'kit propose les cartes coach "Foi en Soi"...
A vous d'aller risquer de découvrir une carte qui vous invite à + de confiance...
Alors : que vous dit-elle ?

Où en suis-je de ma confiance en moi, en la Vie ? 

Au fait c'est quoi avoir confiance ?
C'est pouvoir s'appuyer en sécurité sur quelqu'un, lui confier des informations, des biens... sans inquiétude. Et ce quelqu'un c'est aussi (voire avant tout ?) soi-même !

Alors la confiance en soi c'est entretenir une belle relation avec soi, croire en ses projets, en sa valeur personnelle, en sa place sur terre.
Avoir confiance en l'autre, c'est faire confiance à son intuition ou à son analyse de ce qu'est cet autre pour lui confier notre confiance.

La confiance se développe-t-elle ?
Telle un muscle, la confiance croit en force quand on la sollicite, par l'exercice, par nos expériences.
Alors il existe plusieurs approches :
- la gonflette qui donne à voir de beaux muscles très développés mais qui ne sont pas très puissants pour autant (souvent limités à leurs exercices d'entrainement). Ainsi, vigilance pour ceux qui s'exhibent comme des rois de la confiance en soi : ce n'est peut-être qu'une vitrine, un paravent pour se protéger de vraies relations aux autres.
- ceux qui restent recroquevillés, pour ne pas dire atrophiés, convaincus qu'ils sont faibles et que l'exercice ne vaut pas pour eux. Ainsi ils ne se bougent pas, valident leur croyance en ne faisant pas d'exercice et alimentent ainsi leur manque de confiance.
et
- la vaste majorité d'entre nous qui a une confiance fluctuante mais en action. Oui, la confiance a des haut et des bas, elle n'est pas une donnée fixée à la naissance, loin de là ! Elle est grandement à notre disposition si nous voulons la travailler (en confiance ;-) ). Elle se renforce par nos expériences, en particulier nos expériences positives et encourageantes mais aussi et surtout par notre persévérance (comme savoir surmonter des expériences moins concluantes).

Avoir confiance c'est : 
- oser affronter ses peurs,
- vivre plus sereinement avec ses doutes et
- privilégier les expériences qui nous tiennent à coeur, même si elles sont source de défi. 

A la confiance en marche...

article écrit par Corinne TANGUY, 20 février 2012

Info du jour : Bob & la télé
mardi 21 février, France2 vient d'annoncer l'arrête de l'émission "Leurs secrets du bonheur" pour cause de manque d'audience...
et si les gens qui s'intéressent à leur Bonheur n'étaient pas les mêmes que ceux qui regardent la télé ?
J'avoue que je regarde peu la télé, et que je choisis des programmes pour me divertir agréablement ou parce qu'ils sont orientés vers mes objectifs...
Ainsi je m'alimente très rarement du journal de 20h car il focalise sur des problèmes, pas sur les solutions que je pourrais mettre en oeuvre. Vigilance à la télé qui suscite nos peurs, elle nous éloigne de notre confiance et donc de notre pouvoir d'agir !