L'argent clé du (dé-)bonheur ?

Quelle est la place de l'argent dans la conduite de ma vie ?

Qui décide entre moi et l'argent ?
Dans quelle mesure est-ce l'argent qui guide mes choix ?

Attention pas de réponse hâtive... 

Dois-je attendre d'aller mal pour prendre soin de ma vie ?

Combien de personnes refusent de se prendre en considération !
Parce qu'elles y arrivent encore ainsi, c'est supportable
parce qu'elles ont d'autres priorités,
parce qu'il y a pire qu'eux,
parce que cela demanderait du courage...

La liste de ce que j'appellerais des excuses, est infinie.
Est-ce là nos ressources pour prendre soin du cadeau dont nous sommes responsables ?

Une Vie, non que dis-je : sa Vie !     Prononcez « ma Vie »

OUI, chacun de nous est avant tout responsable de sa Vie.

Comment vouloir que les autres aillent bien si je ne m'occupe pas de moi en priorité ?

C'est tout simplement impossible, en tout cas impossible en étant cohérent.
Cela relève d'une maxime éducative que j'ai si souvent entendue :
      « Fais ce que je dis mais pas ce que je fais ».
Est-ce votre vision de l'éducation ?
Si oui, il est sans doute inutile de poursuivre votre lecture.
Sinon, poursuivons... 

Quel risque ai-je à envisager une vie meilleure ?

Risquer d'être déçu(e) ?
mais si je n'ose même pas y penser :

est-ce parce que je suis si déçu(e) par la vie que je n'ose en attendre mieux ? Dommage.
ou
est-ce simplement parce que ma vie est déjà parfaite ainsi ? Chouette alors ! Il me reste à m'en féliciter et à savourer l'instant. Je suis conscient(e) de la magie de ma vie.

entre ces deux extrêmes, il est possible que certains aspects de ma vie soient source de satisfactions et d'autres d'insatisfactions.

En résumé, s'il m'arrive de me plaindre, c'est qu'il me reste un bout de chemin à parcourir pour me sentir bien : n'est-pas le propre de la Vie ?

Envisager une vie meilleure c'est imaginer me sentir mieux. Qui en détient la clé ?

  Quels nouveaux horizons m'offrir ?

En ce 4 septembre, jour de rentrée pour beaucoup de scolaires, voici une invitation à sortir de sa prison...

C'est extraordinaire qu'ont les gens à créer leur propre prison, à s'y enfermer et à croire qu'ils n'y a pas de clé (euh, c'est qui les gens?). Prison, cela paraît évident pour un lieu clos où quelqu'un nous enferme... mais c'est bien plus subtil et puissant quand ce quelqu'un c'est nous même : notre mental, nos pensées et émotions !

Chacun est capable de créer son monde, en fait sa vision du monde, avec ses frontières invisibles, mais très présentes, de telle sorte que nous vivons souvent dans des mondes parallèles.

 « Interpellée de très près par quelques tentatives de suicide, en particulier ces derniers jours, il est peut-être important que BoB évoque ce sujet crucial... »

Mettre fin à ses jours est sans doute le summum du renoncement au bonheur, et même à tout espoir de mieux être. C'est définitif !

NB : trop tard pour ceux qui sont déjà passés à l'acte, ils ne sont plus à même de lire cet article.

Espoir pour tous les autres

A moins que, vous n'ayez jamais pensé au suicide, alors cet article pourra vous sembler loufoque, voire vous choquer : d'avance Merci de votre témoignage si vous existez.

Tenter de mettre fin à ses jours est souvent un appel au secours, un signal d'alerte. Pour alerter qui ?

• si je me place en victime : j'alerte les autres et attends d'être pris(e) en charge. Que les autres s'occupent de mon mal-être.  Avec une T.S. (jargon psy pour tentative de suicide), ils vont être obligés de voir que je vais mal... A eux de m'aider, de me secourir. En tant que victime, la solution est extérieure à moi.
• si je me place en pilote de ma vie : je me défie. Je prends conscience de l'intensité potentielle de ma vie, de sa valeur, et de mon pouvoir sur elle !