mini-BoB n°14 : qui satisfaire ?
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« Si vous faites toujours ce qui vous intéresse,
au moins une personne est satisfaite »
Audrey Hepburn (1929 - 1993)
En laissant de coté nos a priori, en cessant d'avoir peur des autres ou envie de plaire aux autres, nous ouvrons la porte à notre vraie mission, et qui plus est : à notre satisfaction et sans doute à ce qui offrira le meilleur de nous-même aux autres (ou au moins à ceux qui sont prêts à accueillir cela).
Si jusque-là nous avons pris appui sur le regard, les avis ou conseils d'autrui, sommes-nous pleinement satisfait ?
Si oui, parfait.
Je me demande bien qui est cet autrui qui vous correspond à 100% ?
Si non, il est temps de reprendre notre pouvoir.
De toute façon, pour ce qui est de ce qu'en pensent les autres : comment vraiment savoir ce qui les motive pour nous dire ce qui nous va ? leurs peurs ? leur jalousie ? leurs envies inassouvies ?
Pourquoi leur donner notre pouvoir ?
Alors osons être nous-même,
développons ce qui nous tient à cœur
et attirons les gens qui nous correspondent
Qu'ai-je vraiment envie de faire ?
Corinne pour BoB 
www.objectifBonheur.com
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Commentaires
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vendredi, 07 mars 2014j'arrive à peut près à savoir ce que j'ai envie de faire, mais quand c'est fait il me vient tout de suite une idée en tête "est-ce que ça va plaire à la personne à qui je pense" et je n'arrive pas à me défaire de cette idée que j'ai encore fait qq chose pour plaire ou être reconnue et non pour moi-même. Je me demande alors comment savoir avant de se lancer dans une action si c'est vraiment pour soi qu'on le fait et non pour l'autre, encore l'autre, toujours l'autre, et si on est capable d'agir rien que pour se faire plaisir et selon ses envies et qu'à sa suite on est enfin satisfait et non dans l'attente d'une approbation de l'autre. Là j'avoue que je remets mon pouvoir dans les mains de l'autre, alors comment me le réapproprier, j'ai beau me trouver toutes les bonnes raisons pour être satisfaite de mon travail, j'ai toujours cette petite voix qui revient pour me dire que j'aimerais savoir ce que l'autre va aussi en penser, et sans ça, ma satisfaction n'est pas compète à 100%. peut-être qu'il faut juste accepter de ne pas être satisfaite à 100% et toujours se demander si notre approbation nous suffit sans rien attendre de l'autre. Ce foutu besoin de reconnaissance est très encombrant.
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Merci pour ce message 14 qui me conforte dans mon cheminement!